La CGT a décidé de ne pas signer l’accord qui aurait pu mener à une nouvelle convention collective au profit des salariés.

Il est sidérant de constater qu’une organisation qui ne représente que 4,7 % des salariés ait la possibilité de bloquer un processus recueillant l’aval des cinq autres organisations représentant 95 % de ces salariés.

Notre volonté n’est pas de lancer une polémique quelconque. Nous voulons rappeler à leur responsabilité les syndicats (CFDT, CGC, FO et CGT) qui, en faisant valoir leur droit d’opposition à la convention collective signée en décembre par le SPELC et la CFTC, ont permis ensuite à la seule CGT de prendre plusieurs dizaines de milliers de salariés en otage.

Vous pouvez télécharger trois documents : le point sur la situation au 1er juillet 2013 , un tableau comparatif sur les conséquences du blocage par la CGT, ainsi que l’affiche du SPELC.